J’ai beaucoup appris en observant l’oeuvre de Vermeer. Particulièrement en copiant deux de ses peintures: La jeune fille à la perle et La laitière. Lorsque je suis devant un tableau de Vermeer, j’ai l’impression qu’il n’y a plus de temps mesurable. J’ai la sensation d’ouvrir un livre, de me retrouver dans un intérieur Hollandais du dix-septième siècle, de faire un saut en arrière du monde. Loin des bruits d’automobile et de circulation routière incessante.
Peindre à la Vermeer, c’est plonger dans la lumière qui surgit soudainement de l’obscurité. Spécialement avec cette technique du clair-obscur qui fait aparaître un visage éclairé sur un fond sombre.
Qui est cette jeune fille? On a beaucoup spéculé sur le sujet. Certains disent qu’elle pouvait être l’une des filles du peintre. Il a eu plusieurs enfants. Quinze, à ce qu’on dit. Dont certains sont décédés en bas-âge. Peu importe la personne qui pose pour lui, Vermeer sait toujours comment l’immortaliser. Vermeer n’a pas laissé beaucoup de traces qui pourraient nous indiquer ce qu’il a vécu. Ni beaucoup de tableaux. Il demeure l’un des peintres les plus mystérieux de l’histoire de la peinture! La jeune fille à la perle est l’une de ses oeuvres les plus vulgarisées.
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